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jeudi 29 septembre 2011

Cet étrange sentiment!


Etre triste … qu’est ce que cela peut bien dire ??
On est là, dans un endroit silencieux où seules des notesjouées par un piano s’entendent. C’est à ce moment là qu’on se sent submergéspar des émotions que l’on ne peut définir.
Cela peut être de la tristesse, de la mélancolie, de lapeine…Mais pourquoi donc ressens te nous cela ?
A ce moment même on se pose effectivement la question.
En guise de réponse notre cerveau se met à creuser loin,très loin, voir très très loin.
Mais,…
Un vide se ressent autour de nous, on ferme les yeux, onessaye de réfléchir. Hélas rien ne sepasse. On essaye alors de ne penser à rien.
Et, une fois encore !
Rien ne se passe.
On a toujours les yeux fermés, et là notre corps est envahitpar une sensation qui nous est étrange. La sensation remonte et remonte jusqu'àatteindre notre tête .On sent des petits chatouillements dans une partie denotre cerveau ou de notre tête, on ne sait vraiment pas comment l’expliquer.
Les notes se jouent toujours sur ce piano meurtrit par ceson de chansons que l’on appelle triste parce qu’elles nous mènent à atteindreces sentiments méconnaissables.
La tristesse. C’est ce que prononceront plusieurs si on leur raconte ce qu’on est entrain devivre
Mais qu’est ce que c’est qu’être triste ?
On est triste après avoir perdu un proche.
On l’est après avoir échoué dans la chose où l’on se voyaitexcellents.
On est triste parce qu’on n’a pas ce dont on a vraimentenvie.
Somme-nous triste à la vue d’une personne souffrante, d’unenfant affamé, d’un pauvre animal blessé ou juste on est triste parce que l’onse croit triste ?
Les notes se jouent toujours sur ce même piano et l’on nes’est toujours pas ce que l’on veut dire par être triste !
Notre cerveau commence à retrouver conscience de ce qui nousentoure. Il nous transmet toujours ces notes. Et il ne s’est toujours à quoi ilpourrait bien penser.
Soudain, on a la vue floue. Non , on est pas en train deperdre la vue mais des larmes sont en train de se rassembler.
Pourquoi pleurer ? Ce ne sont que de simples notes jouées sur une boîte enbois ornée de cordes.
Le cerveau pense encore à ce mot inconnu : triste.
Triste.
On est alors en train de nous poser encore la même question.Mais pourquoi suis-je triste ?
Et c’est là que notre cerveau décide enfin de trouver labonne réponse, et grâce à tous ces flux, la réponse nous parvient : C’estjuste un moment de vide que l’on arrête pas de confondre avec le sentimentd’être triste.
Et tout à coup tout devint clair et le mystère est enfinrésolu.
Pour connaître le vrai sens de la tristesse, il faut justeobserver ces enfants qui souffrent de solitude non pas parce qu’ils se sententseuls mais parce qu’ils le sont vraiment. Ils sont là, seuls dans le noir. Ilsont peurs de ce monde qu’ils savent meurtrier. Ils ont froids et ne savent pascomment se réchauffer. Ils sont juste seuls et à la moindre lueur aperçue … Ilssourient.
Evidement, après tout ça on a du tout pas pu résoudre lemystère.
Oh oui, on vient de nous rappeler qu’on était en traind’entendre une chanson triste, parce qu’on se sentait triste.
Les notes se turent.
La chanson est terminée.
Et on sourit.
Evidement que l’on n’est pas tristes.
On s’est rendu compte qu’on a juste oublié de rendre grâce àDIEU pour nous avoir donné de la lumière pour éclairer ces pénombres. De lachaleur pour nous refroidir.
Et une vie que l’on peut gâcher des fois avec unsimple mot.

mardi 12 juillet 2011

Regard révélateur!


Des gens au regard vide et lointain, au visage effacé de tout sourire ou expression chaleureuse, on en rencontre hélas tous les jours, et l’on se dit la plupart du temps « mais quelle tête il fait celui là, il devrait sourire plus souvent ! »
Mais vous êtes vous déjà posés la question sur ce qui a rendu leur visage dépourvu de toute émotion.
Une chose est sur, avant, ils avaient eux aussi cette lueur dans leurs yeux que l’on aperçoit chez tout enfant ébahit par le jeu du magicien, en se disant qu’il a vécut une fois encore la plus belle journée de sa vie.
Ces personnes là, peuvent être n’importe qui d’entre nous.
Bien sur, cela peut être absolument vrai, vu que l’on ne se donne pas le temps de reconnaître ce bel étranger qui nous dévisage à chaque fois que l’on se met devant un miroir. On l’aperçoit juste là devant nous sans se soucier de savoir qui il est vraiment.
Ne vous êtes donc pas posé la question : que révèle mon regard ?
Allez rencontrer cette personne derrière votre miroir et posez lui la question, elle a surement la réponse que vous attendez tant.
Je peux vous l’assurer, ces personnes qui apparaissent tout le temps devant nous en savent plus que ce que nous pensons. Nous devons juste leur poser les bonnes questions à ces moments là toutes ces personnes qui nous dévisageaient de ce regard avide d’émotion dénué de toute joie de vie laisseront des sourires joyeux se dessiner sur leur visage parce qu’en vérité c’est notre cruel regard qui les poussaient à nous dévisager de la sorte.
Je suis sur que si chacun de nous se réveille avec l’intention de sourire peu importe ce qui se passe peu importe ce qu’il ressent, en gardant dans la tête l’idée que rien ne se fait au hasard, et que nous sourions pour montrer notre grâce à Dieu.
C’est à cet instant là que nous rencontrerons dans la rue que des personnes qui nous sourient, parce qu’en fin de compte nous recevons les messages que nous transmettons.

La réponse !


Vivre dans le vide, se sentir mal dans sa peau

Ressentir de la rancœur, en avoir plein le cœur

C’est ce que ressent toute personne en pleine détresse

Toute personne ne fixant plus que cette petite lueur lointaine

Qui apparaît chaque soir, dans son sommeil

Dans chacun de ses rêves

Et essaye en vain de l’atteindre

Elle en fait son but

Puis en fait son seul espoir

Son seul lien avec la vie de ses rêves

La vie où elle ne ressentira plus que joie

A chaque fois qu’elle en a l’occasion

Elle contemple ce point lointain dans l’horizon

Qu’attend-elle ? Qu’espère t-elle ?

Elle nourrit sa soif de joie par celle des autres

En se sentant vivante en admirant un sourire

Et sereine en écoutant un rire

En se posant toujours cette même question qui lui torture l’esprit

Tel un enfant qui attend avec impatience ce que lui apportera la petite sourie

Ou cette mère qui prie Dieu jour et soir, voir son enfant de son sein nourrit

Mais quand est ce que viendra mon tour ? Se dit elle !

La seule réponse à cette question

N’est autre que d’autres questions

Aperçois-tu cette petite étoile lointaine dans les cieux, qui scintille chaque soir,

Et brise de son éclat ce noir ?

Sais- tu qu’elle est ta vrai quête ?

Es- tu vraiment certain de ce que tu cherches ?

As- tu bien cherché ?

Voyage nocturne en quête de vérité !


Il était là dans sa chambre, en train de contempler le somptueux spectacle qui se défilait depuis sa fenêtre.

La nuit couvrait les alentours, la pluie tombait en donnant naissance à une douce mélodie d’hiver, la lune faisait de son mieux pour éclairer ce pénombre qui régnait. Et lui, il était juste là, en train de scruter ce que lui délivrait la nature. Et il avait cette impression qui revenait chaque soir, quand le silence couronne ses nuits. Il était une fois encore ; le Roi de son univers nocturne.

Pour lui, la nuit représentait son jour où il se sentait en vie, il pouvait penser et réfléchir comme bon lui semblait sans qu’il y ait quelqu’un pour interrompre son typique voyage.

Il avait une vie que l’on pouvait envier, et il en était conscient.

Il était le benjamin, avait deux frères, des parents normaux ; ni trop réservés ni trop « cools », comme le disent les jeunes de nos jours. Il avait pleins d’amis, et il n’avait aucune peine à se faire de nouvelles rencontres ni à être apprécié.

Il était intelligent, sensible aux gens qui l’entourait, se faisait du souci pour les autres et pouvait faire face à n’importe quelle situation.

Mais comme le proverbe le dit « Nul n’est parfait ». Malgré ce que le bon Dieu lui délivrait il avait l’impression que sa vie était monotone et monocorde.

Il était intelligent, mais il savait qu’il n’utilisait pas ou plus son intelligence, il réussissait dans ses études mais n’excellait pas, il était un assez bon pianiste mais il avait conscience qu’il pouvait faire mille fois mieux.

D’ailleurs, sa famille le reconnaissait plus depuis bientôt deux ans, il riait toujours, faisait de son mieux pour créer une bonne atmosphère autour de lui, pour que les gens se sentent à l’aise, pour qu’il n’y ait aucun malentendu, aucun conflit. Mais cette lueur et cette étincelle qui brillaient dans ses yeux, qui démontraient sa passion et son exaltation pour la vie, avaient disparue.

Il était conscient que puisque Dieu lui permet de vivre encore un autre jour sur cette terre, de respirer, de scruter ce que celle-ci lui offrait, de vivre alors que d’autres ne se réveillait plus de leur profond sommeil le lendemain. Il devait en être gracieux, et remercier Dieu de lui accorder cette chance et lui exprimer sa gratitude.

Mais malgré tout cela, il lui manquait quelque chose. Il se disait qu’il avait une mission à accomplir sur terre, et avait depuis longtemps cette impression de devoir faire quelque chose pour l’humanité.

Chaque soir dans son propre palais de pensées, il se parlait à lui-même. Ce n’est point un fou ou un aliéné. Mais il s’accordait une sorte de Rendez-vous avec sa propre personne.

Il se disait et redisait les mêmes paroles. « Qu’elle est cette chose qui me manque ? », « que dois-je faire pour que j’atteigne le cœur des gens ? », « quelle est donc ma mission ? », « saurai-je oublié après ma mort ? »

Ces questions lui torturait l’esprit, il devait à tout prix trouver des réponses se disait-il.

Ces idoles étaient les prophètes, les écrivains, les scientifiques, les médecins, les coachs, les musiciens et les professeurs. Pour lui ses personnes là avaient en leur possession une clef magique qui leurs permettaient de s’introduire dans les cœurs des gens et ainsi leurs permettaient de les marquer et de faire quelque chose de bien pour les autres.

Pour lui, les prophètes étaient les personnes qui le fascinaient le plus. Ils étaient les messagers de Dieu et faisaient de leur mieux pour faire du bien autour d’eux, en faisant de leurs priorités les autres puis leur propre être.

Les écrivains pouvaient influencer les lecteurs. Peu importe la nature d’un livre, un écrivain transmettait un message, un code ou une leçon qui serait déchiffrait par la personne qui en avait le plus besoin. Et ainsi, cet écrivain aurait au moins fait une fois du bien pour une personne durant sa vie. Et c’est cette même personne qui ne l’oubliera jamais même après sa mort.

Les médecins et les scientifiques pouvaient faire grâce à Dieu un grand bien aux gens, en leur rendant le sourire après un grand désespoir et une grande peine.

Il avait la conviction que les professeurs et coachs pouvaient changer le monde par leur savoir. Ils donnent de leur savoir aux plus jeunes. Et ce sont ces mêmes enfants qui bâtiront le futur de leurs pays.

Les musiciens quant à eux, pouvaient contrôler les émotions des gens, tantôt ils les faisaient pleurer, tantôt ils les faisaient rire, et d’autres fois ils leur permettaient de sourire quand ils perdaient goût à la vie. Ils leur permettaient ainsi de voyager dans le monde de leurs souvenirs, heureux ou malheureux soient-ils.

C’est en observant ces gens qu’il s’est promis de faire en sorte que son nom fasse partie des noms de ceux qui ont essayé de changer la vie d’autres personnes.

Et c’est à partir de cette nuit, où il contemplait ce fastueux spectacle, où nuit et pluie règnent sur le trône de sa vie et lui permettent de faire un mélodieux voyage.

Cette personne peut être n’importe qui ! Elle est peut être enfouie dans nos cœurs !

Laissons-lui le chemin libre pour marquer les gens en un simple et modeste geste.

La vie. Cette partition!


Partout où nous allons nous pouvons trouver et vivre ce que nous voulons. Il suffit juste d’y croire.

La vie ressemble à un orchestre philarmonique où nous sommes chef d’orchestre et les évènements, les secondes, les minutes, les heures, les jours, les mois, et les années qui passent ne sont autre que nos divers musiciens que nous guidons séparément mais d’une seule main pour avoir différents sons et enfin…réussir… une seule composition.

Tel ce chef d’orchestre, lors d’un grand concert, nous devons essayer de gérer notre vie :

Il invite ses musiciens à jouer d’un geste glorieux et réservé , demande des sons piano d’un autre, des sons allegro par un regard discret, doux mais imposant, des parties crescendo en un léger et gracieux mouvement de sa tête ; tel un bébé réagissant à la berceuse de sa mère, donne le signal au soliste d’une main et en même temps demande de l’autre main à tous les autres musiciens de marquer un silence, et , enfin un bref geste de sa main nous fait savoir que le morceau s’achève et que la vie reprend.

Mais nous écoutons toujours le son grave et profond du violoncelle qui raisonne dans notre tête, et qui nous emmène dans un somptueux voyage où nous sentons une brise nous effleurer la peau du visage telle une douce caresse du bien aimé.

Les notes jouées sur le piano nous parviennent de loin et nous accompagnent dans le train de notre enfance où tout n’était que joie et paix. Tout ça nous le vivons à travers ce son prolongé.

De très très loin, nous essayons d’entendre clairement ces vibrations de cordes. Un seul instrument s’entend, mais crée un effet titanesque et fabuleux.

Ce solo de guitare nous fait penser à la personne qui ne nous inspire que bonheur et harmonie et nous nous apercevons que les muscles de notre visage se contractent… notre visage s’éclaircit par un sourire… soudain.

Notre vie peut ressembler à cet ensemble ci prodigieux et inouï.

Il suffit de choisir les bons instruments pour les bons musiciens pour avoir l’idoine partition.

Les buts que nous essayons de réaliser sont en partie les rêves que nous désirons réaliser depuis notre tendre enfance.

Rêver c’est pourvoyant et nantissant, mais…

Choisissons-nous les rêves adéquats ?

C’est en souhaitant les bonnes choses que nous pouvons réussir à réaliser les buts.

Rappelons-nous le remarquable travail du chef d’orchestre, dont résulte le chef d’œuvre de l’orchestre.